Mercredi 21 mars
3
21
/03
/Mars
00:49
Assise pour rédiger cet article, j'ai terriblement mal à mon anus. Certains auront peut-être du mal à me comprendre pourtant, je suis ravie d'avoir cette douleur. C'est celle qui résulte du
"Montre moi qui est le Maître" que j'ai reçu de mon Maître. C'est une pince à la chatte et à coups de dong dans l'anus que j'ai fait de mon mieux pour montrer à mon homme, mon Maître qu'il était
le seul qui puisse faire de moi comme bon lui semble. J'avais en moi cette envie de lui demander pardon pour mes erreurs. Cette envie qu'il sache que je n'ai que faire d'un quelconque faible. Mon
Maître est homme que je souhaite grandement garder. C'est pourquoi je souhaite lui témoigner une entière soumission.
Je ne suis toutefois pas satisfaite de moi. Je peine à faire une "double entrée" par moi même. C'est la deuxième fois qu'il en parle. Je sens en lui, l'envie de voir sa soumise avoir l'anus
dilaté a souhait. Si ma curiosité n'est pas éveillée à cette idée, l'envie de faire plaisir à mon Maître surpasse toute douleur. Un entraînement , des séances de sodomination régulières, une
motivation sans faille devraient sûrement contribuer à satisfaire les envies de mon Maître. Je suis prête à cela.
Mercredi 21 mars
3
21
/03
/Mars
00:39
Aujourd'hui, mon Maître m'a recadré. M'a fait raisonner. Moi, Sada sa soumise. Plus j'y pense, plus je me
rends compte que je filais droit vers un mur.
Cette expérience me permet de redoubler ma vigilance. A défaut de les maîtriser, elle me permet de pointer du doigt quelques traits de ma personnalité.
Mon Maître, je l'admire pour sa sagesse et son intelligence.
Mon Maître, je le respecte pour son honnêteté.
Mon Maître, je l'envie pour son expérience, sa maturité, la connaissance qu'il a de sa propre personne.
Mon Maître, je l'aime pour celui qu'il est.
Mardi 20 mars
2
20
/03
/Mars
13:41
Bien avant que mon Maître me fasse
connaître une expérience sexuelle avec une femme, il m'arrivait d'en regarder. Sans arrière pensée, j'aime voir une petite femme ayant un corps menu. Des petits seins et des fesse bien rondes qui
donneraient envie à tout homme de les fesser. Pas trop grosses. Juste de quoi réaffirmer, rehausser son déhanché. J'ai connu ce corps. Peut-être est-ce pourquoi j'admire autant celles qui ont su
le conserver. Peut importe qu'elles soient belles ou pas. Bien entretenues, elles obtiennent ma modeste admiration.
J'aime par dessus tout les grandes femmes. Ces femmes longilignes qui n'ont pas de beaucoup formes. Certains diront qu'elles sont plates, sèches. D'autres les compareront à des planches. Pourtant
j'ai un faible pour elles. Celles qui possèdent de très petits seins. Celles qui ont un minimum de fesses. Celles qui ont ces longues et fines jambes que je n'envie point. Aujourd'hui qu'il
m'arrive de penser à une femme comme pouvant être un partenaire sexuel, j'aime à imaginer la possibilité de lui caresser les jambes longuement avant de me consacrer à sa chatte. J'aime ces femmes
dont on peut voir légèrement paraître les hanches.
En parlant de hanches. Je ne saurai trouver les mots pour l'expliquer. Mais j'aime quand mes hanches sont au contact, et se confrontent avec la peau de l'Autre. J'aime
sentir cet os, cette partie dure tenter sans préméditation de m'enfoncer la peau. A ces moments cela veut assurément dire que mon corps est sévèrement proche de l'Autre. Et, que mon sexe quant à
lui, se démène tant bien que mal afin de ne pas (trop) mouiller. Je n'ai sûrement pas su vous expliquer ma pensée. Pourtant...j'ai su parfaitement l'imaginer en écrivant ces mots. Bien plus que
les hanches, j'aime terriblement le pouvoir des mots.
Ce matin j'ai revu une femme correspondant à ma description #1.
Comme tous les matins, elle rivalise en tenue des plus moulantes. Comme tous les matins, c'est avec le même intérêt que je la regarde depuis quelques semaines. Elle ne m'excite pas. Si j'aime son
corps, je n'aime pas sa façon de se vêtir. Je ne suis pas un modèle en la matière mais je ne me sens pas attirée par une femme qui s'habille vulgairement, sans modération. Désormais persuadée que
les meilleures putes (dans le sens le plus noble du terme) sont celles qui, même en gardant leur féminité, peuvent se vêtir correctement la plupart du temps.
Passé tous ces mots, permettez-moi de vous avouer que je l'ai suivie sans pouvoir décoller mon regard de ses fesses. De violet vêtue, aujourd'hui est la première fois que je la voyais aussi
habillée. C'est sûrement la raison pour laquelle je n'ai su décoller mon regard de ses fesses. Cherchant en vain une trace de dessous, c'est rythmée par les secousses de son arrière que je n'ai
pu la dépasser jusqu'à ce nos routes finissent par être séparées.
Moi, Sada soumise à mon Maître.
Derniers Commentaires