Mercredi 22 février 3 22 /02 /Fév 04:50

Je ne sais jamais par quoi commencer afin de conter ces soirées passées avec mon Maître et... Elle. 

Je ne sais jamais si je pourrai trouver les mots justes afin d'exprimer mon ressenti et traduire ces images qui hantent mes pensées depuis ces dernières heures. 

UN MOIS

Plus d'un mois s'était écoulé depuis que mon Maître avait pris l'initiative d'introduire une autre femme lors de nos pauses coquines. Presqu'autant de jours que j'avais passé à penser à cette première fois où j'avais mis mes lèvres dans la chatte mouillée d'une autre. Presqu'autant de jours que mon Maître avait bien voulu m'accorder afin que mon envie de revoir cette femme soit aussi forte que la sienne.

HIER SOIR

Alors que je venais à peine de recevoir une sévère correction de la part de mon Maître, Elle frappait à la porte. Je ne pensais pas qu'elle viendrait aussi tôt mais... je l'attendais. J'étais impatiente de revivre cette expérience. Impatiente de partager ce moment hors du commun avec mon Maître. Impatiente de refaire connaissance avec ses courbes généreuses. Impatiente de deviner le plaisir que pouvait avoir mon Maître quand il nous prenait l'une après l'autre, quand il se faisait sucer par l'une, puis l'autre. Oui, j'étais impatiente de revivre ce marathon du sexe que nous prenions plaisir à faire durer jusqu'au bout de nos limites physiques. 

triolisme-istockphoto-162339_L.jpg C'EST...

C'est, le sourire aux lèvres, mais le coeur affolé que les ai entendus se déshabiller. La situation m'amusait. L'inconnu quant à l'isue de cette soirée m'effayait. 

C'est, dans ce noir qui me permet de m'oublier, que mon excitation a pri le dessus de ma peur.

C'est, avec mes mains que j'ai cherché à reconnaître ses seins, ses fesses, sa chatte tandis que mon Maître se tenait debout hors du lit. Après mon inspection, j'étais désormais prête à parier qu'il s'agissait de la même femme. 

C'est, sans surprise, qu'en allant sucer mon Maître, j'ai deviné qu'il avait eu du plaisir à "observer" nos retrouvailles.

C'est d'ailleurs, en suçant le plaisir de mon Maître, que ma chatte s'est autorisée à mouiller.

C'est avec un plaisir entier que j'ai senti mon Maître me glisser un doigt dans l'anus. Au moment même où mon corps ondulait sur le Sien, cherchant à maintenir un contact entre Sa chatte humide et la mienne. 

JE L'ENVIE

C'est envieuse que je L'ai vu se précipiter sur la queue de mon Maître afin d'avaler son sperme. J'envie sa spontanéité. Peut-être est-ce une question d'expérience. Je crains que ce soit sûrement une question de personnalité. J'envie la facilité qu'Elle a à parler alors qu'elle se fait baiser par mon Maître. Puis-je avouer que j'étais loin d'imaginer qu'une femme pouvait dire autant alors que les lèvres de sa chatte communiquaient avec la queue d'un homme. Si cela est encore difficile pour moi, jai toutefois, enfin compris ce que voulait mon Maître. Je l'envie de savoir faire gémir mon Maître alors qu'elle le suce. Si la queue de mon Homme s'endurcit au fur et à mesure que je le suce, je l'ai rarement entendu gémir. C'est pourquoi, j'ai pris plaisir à observer cette femme. Je ne souhaite en rien l'imiter. Elle m'incite à m'améliorer afin d'accroître le plaisir qu'il m'est possible de donner à mon Maître.

MON MAÎTRE 

C'est alors q'u'il s'était assoupit, nous livrant seules face à nos envies, qu'elle m'a donné du plaisir. Au dessus d'elle, nos chattes humides ne perdant plus contact, j'ai profité de son corps. J'ai profité de ses coups de reins mêlés aux miens afin jouïr. Cette jouisaance qui me soulage au point d'être rassasiée de sexe en l'espace de quelques minutes. Je voulais lui rendre la pareille. Ou...tout au moins, à défaut de savoir le faire, lui procurer du plaisir. C'est, toujours, profitant du sommeil de mon Maître que je suis partie à la recherche de son clitoris. Usant de mes doigts, rythmés par les siens, j'ai trouvé cette partie qui nous est commune. Usant des gestes qui me faisaient plaisir quand il m'arrivait de me toucher, je l'ai entendu. Ces gémissements m'indiquant que je suis au bon endroit avec les bons gestes. Puis-je vous avouer que ces gémissements m'ont fait plaisir au point que ma chatte soit à nouveau humide alors qu'Elle ne m'avait touché. Ne parvenant (sans surprise), à la faire jouïr, j'ai alors glissé sa main sur la queue de mon Maître endormi. Oui, il était l'heure pour nous de le réveiller afin qu'il nous donne du plaisir comme il sait si bien le faire. Il était l'heure qu'il prenne à nouveau du plaisir en baisant les deux salopes qu'il avait à sa disposition.

Lundi 20 février 1 20 /02 /Fév 00:40

Je ne sais pas comment le dire sans révéler la perverse qui est en moi. 

Je regrette profondément d'avoir mal agit car au fur et à mesure de mes manquements, je perds la confiance et l'attention de mon homme, de mon Maître. Il ne tient qu'à moi d'y remédier, qu'à moi de raser mon mur afin d'être dénuée de reproche ces prochains jours. J'ai envie d'être un peu heureuse. Or, mes sourires, ma joie, prennent naissance et résident dans la joie, le plaisir que je peux lire chez mon Maître.

Aujourd'hui, sous le coup de la colère, mon Maître a durcit le ton. Je ne saurais dire si il a haussé le ton mais, il s'est exprimer suffisamment sèchement pour que je devine la colère qui se logeait en lui. Mon Maître ne s'était jamais exprimé ainsi avec moi. Laissez-moi vous rappeler que je regrette mon acte et que j'ai retenu ma leçon. 

Laissez-moi tout de même vous confesser que j'ai encore des frissons dès que je repense à sa voix autoritaire dénuée de toute envie de faire preuve de diplomatie. Mon Maître m'a fait peur en s'exprimant ainsi. Mon Maître m'a terriblement excité et m'excite encore en s'exprimant ainsi ! Encore à 01H02 du matin, j'y repense ! Moi, Sada soumise à mon Maître.

Dimanche 19 février 7 19 /02 /Fév 18:00

L'imbécile que je suis, était persuadée que la prochaine fois qu'elle écrirait un article serait après avoir vu son Mâitre.

L'imbécile que je suis, était persuadée qu'elle viendrait partager son ressenti après un rendez-vous coquin qui était prévu pour ce lundi.

L'imbécile que je suis, a à nouveau fauté. Hélas.

L'imbécile que je suis, a commis une erreur.

L'imbécile que je suis, a manqué de respect à son Maître au point qu'il ne veuille à nouveau lui accorder sa confiance.

Plus j'y pense et plus je suis profondément blessée de l'avoir contrarié à ce point. Je me sens doublement imbécile quand je regarde le pourquoi de ce qui me fera perdre mon Maître. Je me sens faible.

L'imbécile que je suis, ne le dira jamais assez. : "Mon Maître est une partie de moi. Une partie qui est bien plus importante que je ne souhaite me l'avouer. Une partie qu'il a révélé et que je ne souhaite exprimer, exploiter qu'avec lui." 

L'imbécile que je suis, ne veut pas perdre son Maître. Il m'est devenu indispensable. Dans toutes mes projections, je me vois difficilement vivre sans son autorité, sans son attention, sans son affection....sans lui. Je ne saurai dire si il m'est vital. Je souhaite ne pas avoir à le savoir. 

Je ne veux pas le perdre.

L'imbécile que je suis, reconnaît son erreur.

L'imbécile que je suis, a eu tort.

L'imbécile que je suis, n'est pas parfaite mais elle ne veut pas d'autre Maître.

L'imbécile que je suis, supplie d'être sévèrement punie.

L'imbécile que je suis; souhaite être recadrée.

L'imbécile que je suis, souhaite implorer et obtenir le pardon de son Maître.

L'imbécile que je suis, souhaite de tout coeur appartenir à nul autre que son Maître. 

L'imbécile que je suis, promet de ne plus contrarier son Maître.

L'imbécile que je suis, promet d'être docile, obéissante.

L'imbécile que je suis,  promet de demander l'autorisation d'agir à l'avenir. 

L'imbécile que je suis, veut grandir et atteindre le niveau de son Maître afin de ne plus être une imbécile.

Moi Sada, soumise à mon Maître.

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  • : Amateur
  • : Soumise à mon Maître.
  • : Moi, Sada
 
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