Dimanche 8 avril 7 08 /04 /Avr 19:42

Mardi, c'est à l'avant de cette voiture, que mon Maître m'a prise. 

Quelques jours plus tôt, je lui avais formulé l'envie d'être à nouveau sodomisée. D'avoir à nouveau ces frissons, cette douleur, ce plaisir que j'avais eu l'impression de ressentir. Après lui avoir pris une bouteille qui nous serait ultérieurement utile, c'est à l'abri des regards qu'il s'est garé. Quand après avoir longuement roulé mon Maître gare ce véhicule, cela est souvent synonyme qu'il est désormais l'heure que l'on baise. 

Que dois-je faire ? Dois-je attendre qu'il m'ordonne de le câliner ? Dois-je attendre qu'il m'ordonne de l'embrasser ? Dois-je attendre qu'il m'ordonne de le sucer ? Dois-je attendre ou...dois-je prendre l'initiative de lui sauter dessus et lui faire savoir l'envie que j'ai de faire l'amour ? J'ai toujours ces hésitations qui parcourent mes pensées.

Ce soir précis, je lui ait touché les cheveux, l'ai embrassé avant de me diriger vers son pantalon. Courts préliminaires direz-vous. Si j'aimerais être plus longuement câlinée, je crains hélas ne pas savoir témoigner suffisamment d'affection à mon Maître. Pourtant, je tiens énormément à lui. 

Ramonant son sexe avec ma bouche, je n'avais qu'une seule envie : lui faire du bien au point de l'entendre réagir. Prenant un malin plaisir à m'enfoncer profondément son membre dans la bouche, je cherchais mes limites. J'avais faim de mon Homme, j'avais envie de mêler son goût, quelque peu lointain à ma salive. 

Alors que je m'appliquait à lui sucer la queue, il m'ôtait mon pantalon, mes dessous. Passant ses doigts sur ma chatte, il pu remarquer que je m'ouillais d'envie pour lui. C'est alors que mon Maître me fit le chevaucher. Me servant de mes reins afin de donner rythme à mes mouvements, c'est désormais avec une chatte humide que je lui ramonais la queue. Vérifiant à chacun de mes mouvements, si mon Maître prenait plaisir. Plus que mon plaisir, c'est le sien qui m'importe. Je me souviens d'avoir eu envie que sa queue se souvienne de moi bien des heures après cette soirée. Que sa queue ne puisse se retenir. Que mon Maître soit à la limite de jouïr de plaisir. J'avais envie de l'entendre. C'est, demeurant de marbre qu'il me provoquait en me disant que je pouvais bien mieux faire pour atteindre cet objectif. Ce à quoi je redoublais d'effort. M'acharnant encore et encore sur sa queue jusqu'à ce qu'il m'ôte précipitamment ...

AmTM8y5CIAAXhYK.jpg Après cette session qui nous fit transpirer, c'est avec douceur qu'il m'introduisit sa queue dans l'anus. Je m'étais préparée pour mon Maître. Je voulais que cet acte se fasse dans les meilleures conditions possibles. De même le temps pris à rendre ma chatte douce, j'avais pris le temps nécessaire afin d'être propre. Afin qu'il se sente bien chez lui. Afin qu'il ait envie de revenir car, bien accueillit. Je vous avouerai que je n'ai pas eu le plaisir escompté lors de cette sodomisation. Toutefois, le regard que me lançait mon Maître valait toutes les douleurs. Encore aujourd'hui je ne saurai vous le décrire. J'avais affaire à un Maître semblant s'oublier dans mon anus. Dégoulinant de sueurs, il ne disait mot. Son regard disait tout. Je ne saurai vous dire où il s'était envolé. Je le savais bien dans cette voiture. C'est bien moi qu'il regardait. Mais mon Maître planait de plaisir. Cette pénétration anale faisait mal au début. Mais à force, je pris sur moi afin de ramoner sa queue avec mon anus étroit. Il aimait ça et me donnait envie d'aimer tout autant que lui. Un jour, je pourrai dire que j'aime le sexe anal. Car mon Maître aura fait tout pour. En attendant, je prends plaisir à voir son plaisir.

Durant cette même soirée, mon Maître glissa sa langue dans ma chatte. Me procurant ces spasmes que je peine à pouvoir contrôler. M'invitant à lui faire savoir ce que je ressentais quand il s'appliquait à me faire du bien. Me mordillant le clitoris laissant ainsi sortir des gémissements et des bruits que je ne saurai vous décrire. J'aime quand mon Maître me retient de force quand je tente de lui échapper. D'échapper au plaisir qu'il me procure. Je le sens fort physiquement. Et me sens alors en sécurité tandis qu'il passe sa langue dans mon intimité. 

C'est en laissant échapper sa semence dans mon anus que mon Maître à poussé ce râle de soulagement. Réaction qui me satisfaisait. Oui, j'étais satisfaite qu'il ait aimé cette partie de baise dans cette voiture

Moi Sada, soumise à mon Maître.

 

 

Dimanche 8 avril 7 08 /04 /Avr 16:44

IMG-20120401-WA0003Mon Maître je lui appartiens

C'est pour cela qu'une des façons de le lui montrer est de toujours lui offrir mon corps sans restriction. Ces fesses, ces lèvres, cette bouche sont siennes.

Mon Maître je lui appartiens

Plus que des mots, chaque jour est synonyme d'un nouveau défit dans ma soumission, mon respect à mon Homme, mon Maître.

Mon Maître je lui appartiens

Je ne souhaite pas qu'il ait de doutes par rapport au fait qu'il soit mon Maître exclusif. Car si ma nature ne me permet d'être une femme, une soumise parfaite,  ma soumission quant à elle, lui est exclusive.  

Mon Maître je lui appartiens

Il a cette supériorité mentale, cette sage qui me rend faible. Plus que ses performances sexuelles, j'aime quand il me soumet à son insu en faisant preuve d'intelligence. Alors, je me sens d'autant plus fière d'appartenir à mon Maître.

Mon Maître je lui appartiens

Je lui dois honnêteté et un contrôle sur mon existence. C'est aussi à cela que je mesure l'amour que je lui voue. 

Mon Maître je lui appartiens

Je pourrais vous écrire longuement mais..., si les mots sont mes amis, je souhaite vivement que les actes le deviennent bien plus.

Dimanche 8 avril 7 08 /04 /Avr 12:39

Cela faisait quelques jours que je n'avais pu voir mon Maître. Dès la date d'un rendez-vous confirmé, j'avais entrepris l'envie d'avoir la chatte et les jambes les plus douces que j'avais pu lui offrir jusqu'à lors. M'armant de courage et de curiosité à l'idée qu'une femme touche mon intimité, j'ai fait appel à des professionnels. IMG-20120402-WA0005.jpg

Pas une minute je n'ai cessé de penser à mon Maître. Pas un cri étouffé ne m'a fait revenir sur ma décision. Cela faisait mal mais aucune douleur n'était assez forte pour me dissuader d'être agréable pour mon Maître.

IMG-20120402-WA0008 Chacune des bandes de cire ôtée me faisait penser au plaisir que j'aurai quand il me caresserait la chatte. Au soupir de soulagement que je laisserai échapper quand il glisserait un doigt, puis d'autres dans mon intimité humide. Une sensation de douleur après l'autre me faisait penser à sa langue qu'il passerait frénétiquement sur mon clitoris. Je ne sais comment j'ai pu me retenir de mouiller malgré ces pensées coquines qui me parcourraient l'esprit. Je sais toutefois que j'étais assez satisfaite du résultat et excitée à l'idée de me dénuder sous le regard de mon Maître.

Moi Sada, soumise à mon Maître.

 

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  • : Amateur
  • : Soumise à mon Maître.
  • : Moi, Sada
 
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