Cela fait quelques jours que j'ouvre cette fenêtre sans savoir quoi publier sur le blog de mon Maître. 

Quelle punition raconter. Quel sentiment avouer.

C'est pourquoi je me lance au hasard de me souvenirs afin de partager avec vous ma dernière soirée. Cette dernière soirée où mon Maître m'a corrigé à coups de ceinture. 

Ce soir là, mon Maître et moi étions sortis de son bureau. Ravie, j'espérais avoir une soirée au calme avec mon Maître. J'espérais pouvoir échanger avec lui. Alors que tout donnait l'impression que nous allions sortir et partager un instant complice et agréable, mon Maître m'adressa la parole afin de me demander si mon comportement ne méritait pas une correction. A lui seul, le mot correction, suffit pour modifier le rythme des battements de mon coeur. 

Je n'étais plus apaisée. Je n'étais plus curieuse de savoir où il m'amenait. J'avais désormais toutes les craintes du monde qui m'habitaient. 

Arrivés dans ce parking où nous nous retrouvons quand nous sommes de sortie, mon Maître m'ordonna de me dévêtir. Me faisant un signe de la tête, il m'invita à sortir du véhicule. C'est, appuyée sur le capot de cette même voiture que mon Maître m'asséna  des coups avec la ceinture. Ne pouvant supporter la douleur de ces coups, j'ai tenté de me protéger en mettant mes mains. Ce geste eu le don de l'agacer et de redoubler ma peine. 

Plus je me protégeais, plus mon Maître me corrigeait. Même le fait de chuter sous la douleur e l'empêcha de poser son pied sur moi afin de maitriser mes mouvements et de mieux me corriger. Il fallait que j'accepte ma punition et que je sois reconnaissante. Reconnaissante envers mon Maître à qui je dois soumission. C'est quand je compris cela que mon Maître ne cessa de me frapper

Aujourd'hui encore, je porte les traces de cette soirée. Ces marques qui me font constamment me souvenir que 

Être soumise c'est accepter toute correction. 

Être soumise c'est apprécier les choix de son Maître

Être soumise c'est obéir afin de ne pas avoir à être punie. 

Moi, Sada soumise à mon Maître.