Ce matin j'ai eu bien du mal à me réveiller.
Courbaturée de partout, la douleur me rappelle ce moment passé avec mon Maître. C'est en étant littéralement pliée en deux et coincée entre le mur et sa queue que mon Maître m'a baisé dans son bureau. A défaut de m'insulter durant l'acte, hélas, j'aime quand mon Maître me prend comme une salope. Pardonnez-moi. Mon Maître ne me prend pas comme une Salope. Je suis la salope de mon Maître.
J'aime être tel un objet entre ses mains et au bon vouloir de sa queue.
J'aime quand il me frappe les fesses entre deux coups de reins. Vous ne le savez peut-être pas mais mon Maître possède les plus grandes/grosses mains que j'ai pu connaître. De quoi m'infliger une douleur et un plaisir dès qu'elles s'abattent sur ma peau.
Je me souviens avoir régulièrement décollé du sol. Je ne pourrai l'expliquer mais autant le fait qu'il puisse avoir la force de le faire m'excitait, autant mes petits sauts incontrôlés m'amusaient.
Je ne vous ai pas dit.
J'ai atteint un de mes objectifs liés à mon Maître : le faire jouir lors d'une fellation. Mon Maître est difficile à faire jouir. Il faut s'armer de courage, de motivation et d'appétit pour pouvoir le sucer comme il faut au point qu'il répende sa semence après une fellation.
A compter du 1er Janvier 2012, je m'étais donné un mois pour le faire et j'ai réussi. Je n'en suis pas fière. Je suis simplement ravie d'avoir fait du bien à mon Maître. Je n'ai besoin d'entrer dans un quelconque top de ses meilleures conquêtes, partenaires sexuelles. Je suis simplement désireuse d'être et de demeurer sa Sada, sa soumise.
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