Vendredi 14 septembre
5
14
/09
/Sep
00:00
Je pourrais la reconnaître entre mille. Foncée de peau, elle est fine et mesure la taille qu'il faut. Elle a ces courbes qui
lui permettent de se faufiler efficacement dans mes moindres orifices. Orientée vers la droite, c'est en toute fierté qu'il lui arrive de se dresser afin de m'effrayer, m'exciter. Têtue, il lui
arrive de me bouder quand je ne lui parle pas assez. Elle a ce minuscule petit défaut à droite. Petite rebondit qui gratouille quand je passe ma langue sur lui. Parfois, il m'arrive d'avoir envie
de la mordre quand je m'oublie. Envie de la manger. Mais...la sucer est si bon que m'appliquer à le faire est toujours ma première motivation. Quand elle salive, je reconnais alors que ce que je
lui fais semble lui plaire. Je l'aime pour ces sensations qu'elle me procure. Je l'aime parce-qu'elle semble apprécier mes lèvres. Je l'aime avant tout parce-qu'elle est celle de mon
Maître.
Moi, Sada soumise à mon Maître.
Vendredi 14 septembre
5
14
/09
/Sep
00:00
Mardi mon Maître m'a sucé, léché et mordillé le clitoris. Autant de gestes coquins qui m'ont fait du bien. Encore aujourd'hui, Vendredi,
quand je me touche la chatte, j'ai une douleur. Une douleur qui est pour moi une occasion de plus afin de penser à mon Maître. Et...j'aime ça. J'aime quand ma chatte me lance des piqûres de
rappel.
Moi, Sada soumise à mon Maître.
Dimanche 2 septembre
7
02
/09
/Sep
10:52
Hier
soir, c'est à distance et usant de mots que mon Maître a su m'exciter au point de me faire jouir. Décrivant avec précision un scénario érotique ayant pour seuls personnages :
Lui, sa queue bombée sous l'excitation de la situation, sa langue habile se délectant de mon jus, sa main
pénétrant entièrement ma gourmande de chatte, mon timide anus prêt à tout pour plaire au propriétaire des lieux...
Moi, affamée de sexe, affamée de sa queue. Ivre d'envie, pourvue que la jouissance soit à nouveau au rendez-vous.
Mieux, l'orgasme était au rendez-vous. Il ne se fit pas prier afin de se joindre à notre petit jeu. C'est après m'être stimulée
frénétiquement le clitoris, m'être enfilée sans modération un tube de déodorant qui me passait sous la main que j'eus ces spasmes. Ma chatte se contractait afin de mieux me faire profiter de ce
plaisir. Cette impression de m'élever haut, très haut. Ce coeur dont le rythme s'accélère au point d'avoir l'impression qu'il veut s'enfuir de mon corps. Cette sensation de me vider de tout
poids, de toute tension afin d'atterrir en douceur malgré ces tourbillons qui m'envahissaient la tête. C'était bon. C'était magnifique, c'était grâce à mon Maître.
C'est alors que mon Maître m'ordonna de reprendre la partie en ces termes : Encore.
Derniers Commentaires